Quantcast
Channel: Le site officiel du musée des Beaux-Arts de Bordeaux
Viewing all 2983 articles
Browse latest View live

Société des Amis du musée des Beaux-Arts de Bordeaux

$
0
0
 

Une Société culturelle, indépendante, d'amateurs d'art

Les membres qui composent le conseil d'administration de la Société des Amis du Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, association loi 1901 depuis 1945, constituent un groupe de personnes toutes bénévoles unies par la passion des arts. Cette société fédère de nombreux Amis, eux aussi passionnés par l'histoire de l'art, lesquels sont aussi des visiteurs assidus des musées. Tous contribuent au rayonnement et au développement culturel de Bordeaux et de notre Société. Ses adhérents, en croissance constante, rassemble 900 membres dont les cotisations, les dons et le mécénat, aujourd'hui 19 partenaires, lui permettent de poursuivre ses objectifs culturels.
 

Le mot de la présidente

« Aider le musée musée des Beaux-Arts à son enrichissement et inviter des historiens d’art de notoriété internationale, voici deux des aspects fondamentaux de la vie de la Société des Amis du Musée des Beaux-Arts de Bordeaux. Ecouter, voir, se réunir, et tisser les liens, font aussi partie de l’offre de cette Société Culturelle proche de ses membres, lesquels savent, par leur dynamisme, transmettre ce qui les unit, c’est à dire la passion de l’art. »
Marie-Claire Mansencal, Présidente de la société des Amis du Musée des Beaux-Arts de Bordeaux.
 

Dernier don

En 2016, la Société des Amis du musée du musée des Beaux-Arts a acheté pour le musée un tableau de Pierre Lacour intitulé Projet pour le plafond du Grand Théatre : La gloire du Gouverneur de Guyenne
 
Don de la société des amis du musée - Pierre Lacour - Projet pour le plafond du Grand-Théatre

 

Informations pratiques 

 
 
Adresse postale :
Société des Amis du musée des Beaux-Arts de Bordeaux
20 cours d'Albret - BP 70038
33026 Bordeaux cedex
Tél : 05 56 08 80 24
 
 

Nuit des Musées : patrimoine européen / España !

$
0
0

España !

18h > minuit
Entrée libre

Laissez-vous conter les œuvres du musée par les collégiens, lycéens et étudiants du dispositif La classe, l’œuvre. Puis, plongez dans l’ambiance d’un tablao avec le Ballet flamenco de Bordeaux et entrez dans le rythme espagnol avec la chorale So Whap !

L'Espagne est à l'honneur dans un parcours ludique, évoquant les tableaux à sujets hispanisants ou d’artistes espagnols avec les œuvres emblématiques de Pedro de Moya, Murillo, en passant par Gargallo jusqu'à Pablo Picasso avec le célèbre portrait intime de sa femme Olga !

Pour les familles, des ateliers ; pour tous les curieux, un quizz animé ; pour les adultes, des visites flash, le parcours des étudiants et une présentation de l’exposition Philippe Mohlitz, pilleur de rêves.

 

Pour les enfants et familles

À partir de 18h La classe, l’œuvre !

- Les élèves du collège Cassignol présentent la catastrophe maritime de Théodore Gudin sous forme de saynètes.
- Les élèves du Lycée Montesquieu commentent La Leçon de labourage du peintre F.-A. Vincent.
- La classe du BTS Cosmétologie du Lycée la Morlette déambule en dévoilant des maquillages en regard de la collection.

18h-23h Ateliers enfants

De 3 à 6 ans, transforme les œuvres du musée à l’aide des couleurs du drapeau espagnol. À partir de 7 ans, fabrique ton éventail !

 

Pour tous

18h-00h Quizz animé
Jouez et testez vos connaissances sur l’Espagne.

20h Tablao avec le Ballet Flamenco de Bordeaux. Bailar !

20h45 Chant choral moderne avec So Whap ! Cantar !

21h30 Parcours espagnol de Murillo à Picasso. Escuchar !

 

Pour les adultes

21h30-00h Parcours guidé proposé par Artothem (étudiants en Histoire de l’art de l’université et de l’école ICART).

22h45 Un chef-d’œuvre en un quart d’heure.
- Au scandale ! (22h45)
- Les mystères du nombre d’or (23h)
- Pourquoi cette couleur ? (23h15)

23h30 Visite de l’exposition Philippe Mohlitz, pilleur de rêves.

 

 

 

Hans CLOT, Vierge de Pitié

$
0
0

flamand XVe-XVIe siècle

Vierge de Pitié

1469
Huile sur panneau
Hauteur 90 cm. Largeur 242 cm

En 1838, à la suite de remaniements dans la chapelle des fonts baptismaux de l’église Sainte-Croix de Bordeaux, la fabrique fait don, au Musée des Beaux-Arts, de l’oeuvre qui était devant un autel.
 
La Vierge de Pitié se compose au sens strict de deux personnages : Marie et son fils décloué de la croix dont elle tient sur ses genoux le corps inanimé ; mais la Vierge pouvait être entourée par des saints ou des donateurs. Le thème n’est pas esquissé dans les Evangiles ; issu de l’imagination mystique, il surgit au début du XIVème siècle dans les couvents de nonnes de la vallée du Rhin ; le motif féminin et maternel s’est répandu rapidement en France, beaucoup plus tard en Italie. 

Sur la traverse inférieure du cadre, on peut lire en latin les noms des saints, reconnaissables aussi à leurs attributs. A gauche, sainte Barbe tient dans une main la tour dans laquelle son père la séquestra. Le second personnage est saint Siméon ou Simon : sa tonsure caractéristique de moine évoque une personnalité monastique bordelaise, saint Simon Stock. A la droite de la Vierge de Pitié se trouve saint André, frère aîné de saint Pierre ; il fut martyrisé à Patras, attaché sur une croix en forme d’X. Sainte Catherine d’Alexandrie est la dernière sainte et fait pendant à sainte Barbe avec laquelle elle est souvent jumelée.
Sur la travée supérieure du cadre, en latin toujours il est inscrit : "Cette peinture a été faite l’an de l’incarnation du Seigneur mille quatre cent soixante neuf. C’est Guillaume Nicollo de Lensade qui l’a faite faire en l’honneur de Marie mère de Dieu et de son fils."
 
L'oeuvre est signée "Hans Clot M[...]Fecit" : Hans Clot à fait. Cependant, Hans Clot, n’est pas répertorié dans les registres bordelais du XVème siècle ; des Clot ont travaillé à Bruxelles et à Bruges au XVème siècle mais le prénom Hans est germanique. En cette période de « gothique international », la circulation des formes, des idées et des styles est due surtout aux déplacements des artistes qui souvent changeaient de nom selon le pays, entraînant une difficulté à les suivre et à les reconnaître. Hans Clot a pu venir à Bordeaux mais son tableau est dans la plus pure tradition des Vierge de Pitié des pays du Nord de l’Europe. Les conventions de ce thème, né au Nord du Rhin, sont respectées dans le choix des personnages et leur symétrie par rapport au groupe central. 
 
 

Tiziano Vecellio dit TITIEN , "Tarquin et Lucrèce"

$
0
0

 (Pieve di Cadore, vers 1489 - Venise, 1576)

Tarquin et Lucrèce

Huile sur toile. Hauteur : 193 cm. Largeur : 143 cm.
Historique : Ancienne collection du cardinal Mazarin. Ancienne collection de Louis XIV. Envoi de l’Etat, 1805.

Une femme nue se dresse dans son lit aux draps défaits ; elle se débat avec un homme qui l’a agrippée par le bras et la menace en brandissant un poignard à la lame recourbée. Elle tente de le repousser et son regard est tourné vers le spectateur. L’homme porte un costume oriental, une chemise blanche aux manches relevées, un gilet brodé et une culotte bouffante rouge.

Cette scène évoque le viol de Lucrèce par Tarquin, relaté dans les histoires romaines de Tite-Live (59 av. J.-C.-17 ap. J.-C.), Ovide (43 av. J.-C.-17 ap. J.-C.) et Boccace (1313-1375). Le double drame de Lucrèce, son viol puis son suicide, provoqua à Rome la chute de la royauté étrusque des Tarquin en faveur de la République, même si l’héroïne incarnait aussi un idéal de vertu conjugale.

Les deux grandes diagonales des corps des protagonistes impriment tout son mouvement à la scène. Elles sont contrebalancées par les horizontales du lit et la verticale du bras droit de Lucrèce. Titien emploie des couleurs chaudes et sombres (bruns, rouges et ocre), caractéristiques de ses œuvres de vieillesse. Elles mettent en valeur la blancheur des draps et de la chemise de Tarquin, ainsi que la couleur nacrée du corps de Lucrèce. Les contours ne sont pas rendus précisément laissant la couleur créer les volumes.

Unique tableau autographe de Titien dans les collections du musée, Tarquin et Lucrèce témoigne, malgré son usure, de la grande modernité technique et de la liberté d’interprétation de celui qui fut le peintre majeur de l’école vénitienne du XVIe siècle. Deux autres versions, à peu près contemporaines (entre 1570 et 1575), appartiennent au Fitzwilliam Museum de Cambridge et à l’Académie des Beaux-Arts de Vienne.L’œuvre de Titien est marquée par une recherche toujours plus audacieuse de l’intensité dramatique, grâce à l’exaltation des tons, aux effets de perspective et, comme ici, à l’expression des mouvements. Sa vision forte et personnelle en fait un des génies de la peinture que l’on peut comparer au siècle suivant à Rembrandt.

 

ANONYME FLAMAND, "L’Annonciation"

$
0
0

L’Annonciation

Huile sur bois. Hauteur 109 cm. Largeur 90 cm.
Historique : Classée à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1905.
Dépôt de l'église Saint-Michel de Bordeaux en 1967. 

La scène se déroule dans un intérieur où sont visibles un lit à baldaquin et une banquette recouverte de coussins, placée devant une fenêtre géminée. Au premier plan à droite, la Vierge richement vêtue se tient agenouillée devant un meuble bas sur lequel est posé un livre ouvert. Elle interrompt sa lecture à l’arrivée d’une cohorte d’anges dont l’un d’eux tient la lourde chape de brocart d’or de l’archange Gabriel. Dans la partie supérieure du tableau, la colombe symbolisant le Saint Esprit vole à la verticale d’un vase, posé au sol, contenant une branche de lys blanc.
 
L’Annonciation ou la Salutation Angélique est considérée par de nombreux chrétiens comme un événement fondateur de leur religion. C’est l’origine de la vie humaine du Christ dont la naissance est annoncée par l’archange Gabriel à Marie qui portera l’enfant tout en restant vierge.  Cet épisode précède la Visitation de la Vierge à sa cousine Elisabeth, enceintes respectivement du Christ et de Jean-Baptiste. Cette rencontre est visible à travers la fenêtre, dans le paysage de l’arrière-plan, suivant ainsi la tradition iconique de simultanéité de deux épisodes successifs sur une seule peinture.
 
Dans notre œuvre, Marie est surprise pendant sa lecture des Saintes Ecritures. Le Livre est ouvert sur une planche enluminée où  l’on peut reconnaître Moïse recevant les tables de la Loi. Cette activité intellectuelle est typique des Annonciations occidentales et contraste avec les représentations byzantines où Marie puise de l’eau ou tisse. Elle répond aux traités de dévotion apparus autour de 1400 qui stipulent que la Vierge méditait sur les textes saints et possédait donc la sagesse divine.
 
Gabriel est vêtu d’une aube et d’une chape brodée d’orfrois, représentant les prophètes de l’Ancien Testament, et joint sur la poitrine par un fermail d’orfèvrerie. Il tient un sceptre d’or, attribut qui s’est peu à peu substitué au bâton du messager, héritage mythologique de Mercure messager des dieux. Il est accompagné d’une  exceptionnelle cohorte d’anges. Ce détail nous permet de resituer l’œuvre dans le temps. En effet, c’est à partir du Concile de Trente (1545-1563) qu’apparaît « cette multiplication des anges » (Louis Réau, Iconographie de l’art chrétien), jusqu’alors les compagnons de Gabriel ne sont jamais plus de trois.
 
Cette oeuvre est à rapprocher de nombreuses répliques conservées entre autres au Musée national du Moyen Age-Hôtel de Cluny, au Musée du Berry de Bourges ou au Musée des Beaux-Arts d’Orléans, mais rien ne permet aujourd’hui d’en connaître leur chronologie ou leur(s) auteur.

Hendrick TER BRUGGHEN , "Un chanteur s'accompagnant au luth"

$
0
0

Deventer, 1588 – Utrecht, 1629

Un chanteur s'accompagnant au luth

1624
Huile sur toile.
Hauteur. 104,5 cm. Largeur. 84,7 cm.
Achat de la Ville, 1829.

 
Tournant le dos au spectateur, un musicien est représenté de trois-quarts, jouant du luth et chantant sur un fond neutre. Son visage porte un léger collier de barbe et une moustache plus fournie. Il est vêtu d’un lourd manteau brun d’où émerge la manche rayée et bouffante de sa chemise. Son large béret est agrémenté d’une grande plume rousse et blanche.
Lié au sacré depuis le Moyen Age, le thème musical apparaît dans la peinture profane dès la Renaissance Italienne. Caravage aborda le sujet lorsqu’il séjourna chez le cardinal Del Monte en réalisant Le Joueur de Luth (v. 1596, Saint-Pétersbourg, Ermitage ; v. 1600, New York, MOMA) ou Le Concert de musiciens (1595-1596, New York, MOMA) ; les caravagesques s’en inspirèrent et représentèrent souvent des musiciens assis ou attablés dans un cabaret, car parallèlement à la représentation de l’Ouïe, le luth symbolise aussi la Luxure.
Ter Brugghen a lui mis en scène des joueurs de flûte (1631, Kassel, Staatliche Museen), de cornemuse (1624, Cologne, Wallraf-Richartz Museum), de viole (Windsor, collections royales) ou de luth (1624, Londres, National Gallery ; 1628, Paris, musée du Louvre) dont celui de Bordeaux. Cette dernière est issue d’un dessin préparatoire perdu (anciennement conservé à Berlin) dont proviennent aussi les versions du Davenport Museum of Art et du musée national des Beaux-Arts d’Alger. Après confrontation entre ces œuvres, Olivier le Bihan donne la primauté à la version de Bordeaux.
 
Après un apprentissage chez son compatriote Abraham Bloemaert (1564-1651), Ter Brugghen partit en Italie où il séjourna de 1604 à 1614 et où il semble avoir rencontré Caravage ou tout au moins ses disciples directs dont Orazio Gentileschi. Aucune œuvre de cette période n’est conservée, la première datée et signée est de 1616, Saint Pierre repentant (Utrecht, Centraal Museum), les autres sont de la fin de sa carrière. A partir de 1621, l’artiste privilégia les scènes religieuses et les joueurs d’instruments en s’inspirant pour celles-ci des compositions de Gentileschi et de Bartolomeo Manfredi (1582-1622). Son caravagisme très personnel, parfois archaïque ou lyrique, met en scène des musiciens sur des fonds neutres dont la platitude et le ton assourdi sont brisés par le relief de larges manches bouffantes, rayées de subtiles nuances colorées.
Avec Gerrit van Honthorst (1590-1656) et Dirck van Baburen (v. 1595-1624), Ter Brugghen est l’un des plus brillants maîtres du caravagisme nordique.

Ateliers enfants : mercredis et vacances scolaires

$
0
0
  • Visites-Ateliers 

> Pour les 3-5 ans : visite en famille

Nouvelle formule pour découvrir l’exposition et partager un moment convivial de créativité autour d’un atelier plastique à quatre mains.

De 15h à 16h30
Un parent accompagne l'enfant. Le lieu où nous faisons l'atelier ne nous permet pas d'accueillir des enfants supplémentaires de moins de 3 ans ou en poussette. Merci de votre compréhension.

"Animaux"
"Formes et couleurs"
 

> Pour les 6-12 ans

De 15h à 17h
Les parents laissent les enfants à l'accueil sous la responsabilité des médiateurs, et viennent les rechercher à 17h.

  "Révèle le dieu ou la déesse qui est en toi !"
  "Ramène ta fraise"
  "Apprenti sculpteur
             

> Pour les 11-15ans : 

Atelier Totebag arty
Atelier linogravure


Tarifs : 5 € sur réservation au 05 56 10 25 25 
 
  • Cours de dessin

Découverte du dessin pour tous les niveaux.
5 €. Sur réservation. De 3 à 14 ans.
 
De 10h30 à 12h30

Jeudi 15 février 
Mercredi 21février
Jeudi 12 avril
Vendredi 13 avril
Vendredi 20 avril

 
 
 

Depuis 2008, l’obtention du label Famille Plus engage la commune et le Musée auprès des familles et des enfants  à tout faire pour leur assurer un accueil adapté pendant les temps de vacances. Le label est accordé pour une période de trois ans aux communes qui mènent une réelle politique d’accueil des familles et des enfants.

 
 

Visite-atelier pour les 6-12 ans "Révèle le dieu ou la déesse qui est en toi !"

$
0
0

Visite-atelier dans les collections permanentes sur le thème de la mythologie pour les enfants entre 6 et 12ans. Viens révéler le dieu ou la déesse antique qui se cache en toi grâce à un test de personnalité artistique ! La visite sera suivie d'un atelier pop up.

5€ par enfant

Sur réservation et dans la limite des places disponibles.
05 56 10 25 25
RDV au musée

Les ateliers peuvent être annulés en cas d'un nombre insuffisant d'enfant.
Pssst : il faut savoir lire et écrire pour suivre l'animation. 

 


Visite-atelier pour les 6-12 ans "Ramène ta fraise !"

$
0
0

Visite-atelier dans les collections permanentes sur le thème du portrait pour les enfants entre 6 et 12 ans. La visite sera suivie d'un atelier dédié à la confection d'une fraise, ce col majestueux qui nous transportera plusieurs siècles en arrière !

5€ par enfant

Sur réservation et dans la limite des places disponibles.
05 56 10 25 25
RDV au musée

Les ateliers peuvent être annulés en cas d'un nombre insuffisant d'enfant.

 

 

Visite-atelier pour les 6-12 ans "Apprenti sculpteur"

$
0
0

Visite-atelier dans les collections permanentes sur la sculpture pour les enfants entre 6 et 12 ans. La visite sera suivie d'un atelier de modelage d'argile pour créer notre propre sculpture.

5€ par enfant

Sur réservation et dans la limite des places disponibles.
05 56 10 25 25
RDV au musée

Les ateliers peuvent être annulés dans le cas d'un nombre insuffisant d'enfant.

 

Visite commentée "Fleurs et végétaux dans l'art : symboles et botanique"

$
0
0

Cette visite permettra de découvrir la présence des végétaux et des fleurs dans les tableaux au cours des siècles, avec deux œuvres spécialement sorties des réserves pour l’occasion.


Pour profiter de la météo estivale, une partie de la visite se déroulera dans le jardin de la mairie sous la forme d’un jeu sur les symboles !

 

6€, sans réservation

De l'art dans la mode... et inversement. Carte blanche à l'école ESMOD Bordeaux

$
0
0

Dans le cadre de sa politique de développement des publics, le musée des Beaux-Arts s’engage pour la deuxième année consécutive dans un partenariat avec des établissements d’enseignement des métiers d’art. Cette année, une carte blanche est donnée à l’école ESMOD Bordeaux autour d’un projet pédagogique ambitieux valorisant la collection du musée. Cette exposition tisse des liens entre les mondes de l’art et de la mode, deux univers qui ne sont pas si lointains, en invitant les étudiants à s’approprier les œuvres du musée.

      

Chaque promotion a ainsi travaillé sur un projet inspiré d’artistes présents dans les collections du musée :

 

Les étudiants de 1ère année présentent deux créations, sous la forme de deux lectures différentes du tableau du peintre naturaliste Alfred Smith, Les Quais de Bordeaux, datant de 1892 : l’une conceptuelle, l’autre expressive et plastique, deux interprétations de grandes dimensions à la hauteur de l’espace muséal.

Pour les 2èmes années, les réflexions autour du lien entre l’art et la mode ont abouti à la création d’un kimono inspiré de l’œuvre d’Henri Hamm (1871-1961). Cette pièce est exposée au musée pour y attirer les curieux de mode, et sera présentée lors du défilé ESMOD en juin 2018 pour introduire au monde de la mode les amateurs d’art.

 

        
Vues de l'exposition, photo Anaïs Sibelait

Le musée tient à remercier l’équipe enseignante de l’école ESMOD Bordeaux, en particulier Cathy Goergler, Sophie Bonnaval et Corine Pinquet, les étudiants ainsi que le Musée des Arts Décoratifs et du Design de Bordeaux pour le prêt des boutons et du miroir d’Henri Hamm.

Coordination du projet : Laura Antonini

 

Visite commentée "Le vin en peinture"

$
0
0

Cette visite permetta de découvrir l'importance du vin et du raisin dans les oeuvres de la collection permanente du musée. De la Renaissance aux bambochades, en passant par les vanités jusqu'à la modernité, le parcours proposé se plaît à évoquer la symbolique du raisin et les techniques spécifiques aux courants artistiques. 

Tarif réduit sur présentation du Pass Dégustation. Sans réservation. Nombre de places limité.

Fête de la musique

$
0
0

La musique a inspiré de nombreux artistes et la peinture a aussi influencé de grands compositeurs. À l'occasion de la Fête de la musique, le musée des Beaux-Arts associera ses collections à cette fête populaire permettant au public de découvrir le musée en musique.

Cette année, deux choeurs du conservatoire national de région proposent un dialogue entre des oeuvres musicales et des oeuvres de la collection.

Trois parcours musicaux sont proposés au choix : 18h00, 19h et 20h

Sur réservation au 05 56 10 25 25

Exposition "ART-À-PORTER"

$
0
0

 

Pour la deuxième année consécutive, le musée des Beaux-Arts et le lycée Toulouse-Lautrec de Bordeaux s’engagent dans un partenariat autour d’un projet pédagogique ambitieux avec les terminales du bac professionnel « Métiers de la mode – vêtements » : créer des vêtements inspirés d’œuvres du musée. Après le succès du défilé des créations de la promotion précédente en avril 2017, cette année des vestes aux cols et manches inspirés des détails de costumes des personnages des tableaux du musée sont exposées sur mannequins dans les salles devant les œuvres. Une sélection de vestes sont également présentées dans le hall nord, accompagnés des prototypes de création ainsi que des planches d’inspirations réalisées en amont par les élèves. Elles seront mises en scène dans des structures scénographiques construites par les élèves du bac professionnel « Marchandisage visuel ».

 

Une chemise aux manches surdimensionnées nous accueille dans le hall nord, suspendue comme en lévitation, en préambule à ce parcours d’art-à-porter.

     

Veste inspirée de l'oeuvre de Lavinia Fontana "Portrait d'homme feuilletant un livre" 

 

 

 


Rencontre avec Olaf Idalie dans le cadre de la Fête de l'estampe

$
0
0

Dans le cadre de la Fête nationale de l'estampe, l'association La Belle Estampe propose une rencontre avec Olaf Idalie, ancien imprimeur et buriniste ayant travaillé avec Phillipe Molhitz, pour une découverte de la technique de la gravure au burin.

 

Entrée libre. Salle des Actualités.

Dévernissage électro de l'exposition "Philippe Mohlitz. Pilleur de rêves"

$
0
0

Dernier jour, dernière soirée dans l'exposition. À l'occasion du dévernissage de l'exposition, celle-ci sera mise en musique et en sonorités fantastiques grâce à un partenariat avec Radio Nova et Club Hifi. Des enceintes, prêtées et positionnées par Club Hifi, viendront diffuser une bande son imaginée pour l'occasion par Radio Nova.

Entrée libre, salle des Actualité aile sud du musée.

Présentation exceptionnelle d'une estampe de Goya

$
0
0

Le musée participe de nouveau cette année à la Fête de l'Estampe et présente à cette occasion l'exemplaire unique d'une estampe de Francisco de Goya, "Combat de taureaux", réalisée en 1825 par l'artiste à Bordeaux, sortie exceptionnellement des réserves à cette occasion.

Le musée organise avec l'Institut Cervantès de Bordeaux une conférencedans ses murs autour de l'artiste à l'occasion di 190e anniversaire de sa mort.  

Boutique

$
0
0

Accueil/Boutique

Réaménagement du hall de l’aile sud

Améliorer l’accueil, donner aux visiteurs une première impression plus agréable, le faire entrer
dans une atmosphère plus plaisante, telles sont les motivations de ce nouvel aménagement à l’entrée
du musée.
Lancé en 2016, ce projet a vu le jour au printemps 2018, avec notamment la création d’une boutique et d'un espace détente. De nouveaux produits dérivés pour petits et grands vous y attendent !

 

Sieste fantastique

$
0
0

Dans le cadre de l'exposition Philippe Mohlitz. Pilleur de rêves, une sieste litérraire est proposée le mercred 16 mai à 16h. 

Venez vous détendre, bercé par des lectures de textes et récits fantastqiues, par Les Lecteurs Migrateurs. 

Viewing all 2983 articles
Browse latest View live